Snowpeak / Artemis PP20

donc ne jamais graisser les joints ?

socotoracor a écrit:

L'option 2 est celle adoptée. Mais répétée, même de temps en temps de manière espacée, elle finit par rejoindre l'option 1 dans les coins comme on peut le voir sur la photo.

Rien n'empêche de nettoyer avant d'en remettre. Non ?

la graisse fait çà mais l'huile ??

moi j utilise une bombe de silicone en spray

Oui, j'humidifie la surface visible du joint avec le bout du doigt gras à l'huile silicone. Donc, très très très très ..... peu.

GUNS 32 a écrit:

moi j utilise une bombe de silicone en spray

Pas toujours recommandé. Les aérosols contiennent souvent des dispersants qui ne sont pas toujours
compatibles avec tous les joints. Par exemple, Hill recommande de ne pas utiles de graisse en bombe.

Avec les aérosols, on en met toujours trop et à coté. Quand j'utilise une bombe et qu'il m'en faut très peu, je pulvérise un court instant dans le capuchon de la bombe. Puis je vais prendre ce dont j'ai besoin avec un objet pointu. S'il faut doser, j'utilise une pince brucelles fine et pointue en mode plume de calligraphie d'écolier du siècle dernier. On peut également utiliser un pique-huile d'horloger. Mais tout ce qui reste dans le capuchon est gâché. C'est la raison pour laquelle je préfère une pipette comme celle de la photo. Un petit contact du bec avec le bout du doigt qui se couvre d'une fine couche d'huile, contact avec le joint et basta. C'est rapide et économique et surtout, il n'y a aucun excès.

j'ai un rohm action twinmaster qui a tiré un nombre incalculable de plombs, j'ai jamais graissé; par contre une cartouche co2 d'entretient de temps en temps......j'ai jamais eu de soucis.....çà doit être efficace.

Je lubrifie juste ce qui frotte le plus... et le moins possible (la lub.), dont le joint qui fait étanchéité du raccord avec le réservoir, soumis à friction.
Le mouvement des pièces sur le PP20 (et d'autres armes sans aucun doute) est très limité. Une fois lubrifiées, les surfaces en frictions sont protégées de l'usure tant que l'huile est présente. L'huile finit toujours par disparaitre. Sur des surfaces polies par la friction, cette usure est vraiment minime. Ça n'empêche pas le fonctionnement correct à l'échelle d'une vie . En plus, les aciers utilisés semblent spéciaux et non en fer à cheval. Au stand, je n'ai jamais vu la moindre trace grasse sur les pièces en frottement qui sont visibles, comme le levier d'armement. Cependant, sur une Fein 500, le levier d'armement montrait quelques signes de grippage très sensibles et une pulvérisation d'huile à résolu le problème. Les traces de friction (=usure, même minime) étaient très visibles.